Afin d’acheter des pièces détachées et des composants au meilleur moment possible, BMW veut se servir de la solution d’informatique quantique de Honeywell. Son but étant le renforcement de l’efficacité de sa supply chain à l’aide de ces nouvelles méthodes de calculs.
Pour les industriels de l’automobile, la gestion du réseau logistique et de la chaîne d’approvisionnement est primordiale. En effet, ils peuvent payer très cher une petite perturbation. Le constructeur mise ainsi sur l’usage d’ordinateurs quantiques pour identifier les meilleurs moments pour faire l’acquisition des composants indispensable à la fabrication des véhicules.
BMW s’est donc rapproché d’Entropica Labs et d’Honeywell pour le développement de sa solution. Différentes machines vont être testées par BMW, dont le System Model H1 développé par Honeywell. Les simulations nécessaires à BMW s’avèrent, en effet, très lourdes à calculer à partir des architectures informatiques traditionnelles. Le constructeur mise sur les capacités des ordinateurs quantiques pour la détermination précise des composants devant être achetés par un tel fournisseur à tel moment afin de les acheter le moins cher possible et éviter la rupture de la chaîne d’approvisionnement.
Les ordinateurs quantiques sont prévus avoir des capacités allant au-delà de celles des ordinateurs traditionnels en déterminant le meilleur plan d’action parmi une multitude de possibilités. Leur premier cas d’usage sur la supply chain s’avère concret puisqu’il s’agit d’une technologie où l’identification des apports directs pour les industriels peut être parfois complexe.
